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Chapelles à Sirault


Le Calvaire


Le terrain du Calvaire, d’une superficie de trois ares, appartient à la Fabrique d’Église. Entre 1846 et 1847, ce terrain fut exploité pour en extraire le sable nécessaire à l’agrandissement de l’église voisine.

Le Calvaire lui-même fut érigé en 1857-1858 sous l’impulsion de l’abbé Charles Louis Connart, curé de Sirault de 1844 à 1865. Conçu dans un style néogothique, il se distingue par une façade élégante composée de pierres de Grandglise et de briques locales, témoignant du savoir-faire artisanal de la région.

Dans le fronton supérieur, on peut admirer un groupe sculptural représentant le Christ crucifié, entouré de la Sainte-Vierge, de Saint Jean et des Saintes Femmes. Sur les côtés, dans des niches latérales, sont placées les statues de Saint Pierre, Saint Paul ainsi que les quatre Évangélistes. Ces sculptures proviennent de la poterie Cyrille Corbisier, qui était jadis implantée au Cavin. Elles ont été réalisées selon les croquis dessinés par le curé Connart lui-même, et les moules furent façonnés par Jean-Baptiste Lebrun, un modeleur et potier originaire de Sirault.

Autrefois, des statues de soldats romains ornaient également certaines niches, mais elles furent retirées, car leur silhouette inquiétante effrayait les passants la nuit. L’abbé Connart fit alors transférer ces statues au « Calvaire des Juifs » à Moustier, sa commune natale.

À l’arrière du Calvaire se trouvait une grotte abritant une statue du Christ assis. Malheureusement, cette grotte a aujourd’hui disparu, mais elle était un lieu de recueillement important pour les fidèles.

Le site du Calvaire est particulièrement dédié à Notre-Dame des Sept Douleurs, également appelée Notre-Dame de la Bonne Mort, à qui l’on implorait protection et réconfort, surtout dans les moments difficiles.

Abbé Charles Louis Connart (1806–1865)
Un Abbé dévoué au service de sa foi et de sa communauté


L’abbé Charles Louis Connart naît à Moustier, le 19 août 1806, au sein d’une grande famille composée de dix enfants. Son père, Damas Joseph Connart, était originaire de Moustier (né le 17 mai 1774), tandis que sa mère, Marie Claire Pierman, était native de Chièvres (née le 4 janvier 1769). Très tôt, le jeune Charles manifeste une profonde vocation religieuse.

Il est ordonné prêtre et vicaire le 3 janvier 1833 à Marcinelle par Mgr Delplancq, évêque de Tournai. Sa vie pastorale débute dans l’humilité et la rigueur, empreinte d’un profond esprit de service.

De 1839 à 1844, il est nommé curé de Lamain, où il s’attache à revitaliser la vie paroissiale. En 1844, il devient curé de Sirault, fonction qu’il occupera jusqu’à sa mort en 1865. Pendant ces 21 années de ministère à Sirault, l’abbé Connart se montre profondément impliqué dans la vie spirituelle et sociale de ses paroissiens.

Un homme d’action et de foi
Son œuvre ne se limite pas à la seule administration paroissiale. Visionnaire et soucieux de l’éducation, il fait appel aux Dames de la Sainte-Union des Sacrés-Cœurs de Douai afin de fonder à Sirault une école destinée à l’instruction des jeunes filles, dans une époque où l’éducation féminine restait souvent négligée. Ce geste marquant témoigne de son engagement pour l’émancipation intellectuelle des plus jeunes et son souci du bien commun.

En 1865, quelques mois avant sa mort, il est nommé directeur du couvent des Sœurs Grises à Hautrage, institution vouée aux soins des malades et à l’aide aux plus démunis. Hélas, la santé de l’abbé se détériore rapidement.

Ses derniers jours
L’abbé Connart s’éteint à Hautrage, le vendredi 1er décembre 1865 à 3 heures du matin, des suites d’une pénible maladie. Son décès plonge la paroisse de Sirault dans le deuil. La veillée mortuaire a lieu le dimanche 3 décembre à 15h au Calvaire de Sirault, lieu symbolique et chargé de spiritualité. Il est inhumé le 4 décembre 1865 dans le cimetière de Sirault, là où il avait tant donné de lui-même.

Héritage
L’abbé Charles Louis Connart demeure dans la mémoire de Sirault comme un homme de foi profondément humain, un curé bâtisseur et éducateur, engagé tant dans la vie religieuse que dans le progrès social. Son souvenir perdure dans les pierres de l’église, dans les récits transmis de génération en génération, et dans les valeurs d’éducation, de charité et de service qui continuent d’animer le village.

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Courrier de l'Escaut du 8 septembre 1912

Le 7 septembre 1912, des voleurs se sont introduits dans la chapelle du Calvaire, à Sirault, en brisant les carreaux d'une fenêtre, à l'aide d'une pince, ils ont forcé des cadenas des troncs renfermant les offrandes et ont enlevé l'argent.
Sur le mur, à l'intérieur de la chapelle, on a constaté des traces qui permettront sans doute de retrouver les coupables.
On croit que le vol a été commis par des étrangers à la commune.

La chapelle de Notre-Dame de Fatima


Elle est adossée à l’école maternelle Saint-Amand, dont elle partage aujourd’hui les murs et l’âme. En effet, bien qu’ayant perdu sa fonction religieuse première, elle continue de servir la communauté sous une autre forme, accueillant désormais une salle de classe dans un esprit de continuité éducative et humaine.

Édifiée dans le courant du XXe siècle, cette chapelle fut l’objet d’un événement solennel et marquant pour les habitants de Sirault et des environs : sa bénédiction, célébrée avec ferveur le 23 avril 1951, par Son Excellence Monseigneur Himmer, évêque de Tournai. Il était entouré de l’abbé G. Dubois, vicaire, et de l’abbé J. De Decker, curé, qui ont ensemble porté ce projet spirituel et communautaire. Ce jour-là, un souffle de piété et d'espérance a traversé la petite localité, rassemblant fidèles, enfants et familles dans un moment fort de cohésion.

L’un des éléments emblématiques de la chapelle est sans doute sa cloche, affectueusement baptisée Lucie, en hommage probable à l'une des trois jeunes voyantes de Fatima, au Portugal, dont les apparitions mariales ont profondément marqué la foi catholique au début du XXe siècle. Le choix de cette dévotion particulière, centrée sur Notre-Dame de Fatima, témoigne d’une volonté d’ancrer l’édifice dans une spiritualité mariale populaire, empreinte de paix et d’intercession.

Aujourd’hui, si les prières ont laissé place aux rires d’enfants et aux apprentissages du quotidien, la chapelle conserve dans ses murs une atmosphère singulière. Lieu de mémoire, de transmission et de transformation, elle illustre parfaitement la capacité des édifices religieux à se réinventer sans perdre leur âme.

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Ministère de la Justice Administration des Cultes, Dons et Legs, Fondations
Vu la demande du 12 décembre 1950, par laquelle M. l'Evêque de Tournai sollicite l'érection, sous le vocable de Notre Dame de Fatima, du hameau de Happart à Sirault.
Vu les avis du conseil de fabrique de l'église Saint Amand à Sirault, du conseil communal de cette localité et de la députation permanente du conseil provincial du Hainaut des 4 mars, 3 et 6 avril 1951.

La chapelle à proximité du "Petit Forêt"


Blason au dessus de la porte de la chapelle du Petit Forêt


La chapelle et le blason de la famille de Quevelon


Un témoignage de foi et de noblesse enraciné dans l’histoire locale

Au cœur du village de Sirault, nichée dans un coin paisible, la chapelle érigée en 1865 se dresse comme un discret mais précieux témoin du passé. Construite au XIXe siècle, cette petite chapelle est à la fois un lieu de recueillement, un repère patrimonial et un symbole de l’attachement d’une famille noble à sa terre et à sa foi.

Une construction du XIXe siècle empreinte de piété
Édifiée à une époque marquée par une profonde ferveur religieuse et une volonté de perpétuer la mémoire familiale, la chapelle fut construite en 1865, probablement à l’initiative ou sous le patronage de la famille de Quevelon, ancien lignage noble local. Comme beaucoup d’édifices religieux ruraux de cette époque, elle fut conçue avec des matériaux simples mais durables, dans un style sobre, reflétant une piété discrète mais sincère.

Le blason de la famille de Quevelon
Sur l’édifice ou à proximité, on peut observer ou évoquer le blason de cette illustre famille, portant une symbolique forte et élégante, témoignant de son rang et de son héritage. Le blason de la famille de Quevelon se lit comme suit :

"De sable à trois bisses en pal d’or, languées de gueules, posées au chef d’azur chargé de trois colombes éployées et rangées d’argent, becquées de gueules."

Décryptons cette héraldique riche de sens :

"De sable" : le fond noir évoque la constance, la discrétion, voire la rigueur.

"Trois bisses en pal d’or" : les bisses, sortes de serpents ou couleuvres ondoyantes, représentées verticalement (en pal), sont dorées. Elles symbolisent la prudence, la vigilance et une certaine forme de sagesse redoutée.

"Languées de gueules" : leurs langues rouges évoquent la vivacité et la combativité.

"Chef d’azur chargé de trois colombes éployées d’argent, becquées de gueules" : dans la partie supérieure du blason (le chef), un fond bleu (azur) accueille trois colombes blanches aux ailes déployées, alignées horizontalement, symbole de paix, de pureté et de spiritualité. Le rouge de leurs becs suggère l’engagement et le sacrifice.

Ainsi, ce blason réunit des symboles de force, de paix et de piété, illustrant le caractère et les valeurs portées par la famille de Quevelon.

Héritage spirituel et culturel
La chapelle, tout comme le blason familial, rappelle l’importance qu’accordaient certaines familles notables à la transmission de leur foi, de leur histoire et de leur engagement envers leur communauté.


De nos jours, ce petit édifice mérite d’être conservé et valorisé comme un fragment du patrimoine religieux et historique local, témoin d’une époque où la noblesse, le clergé et le peuple se croisaient dans un même élan de dévotion.

Les petites chapelles


Les chapelles votives de Sirault : mémoire des épidémies et de la foi populaire
Dispersées aux abords des chemins, au détour d’un carrefour ou à la lisière des champs, les chapelles votives de Sirault témoignent d’un passé marqué à la fois par la souffrance, la foi et l’espoir. Ces petits édifices de pierre ou de brique, souvent modestes mais chargés de symbolique, ont été érigés pour la plupart au cours du XIXe siècle, en réaction aux terribles épidémies qui ont frappé la région.

Des chapelles nées de la douleur et de l’espérance
Le XIXe siècle fut une époque dure pour les populations rurales, confrontées à des conditions de vie précaires, à une médecine balbutiante, et à des vagues épidémiques dévastatrices. À Sirault, plusieurs chapelles ont vu le jour à l’occasion de grandes crises sanitaires, comme un appel à la protection divine, ou un remerciement pour une guérison ou une protection accordée.

En 1810, une violente épidémie de dysenterie s’abattit sur la région, emportant de nombreuses vies en peu de temps. Face à l’impuissance des hommes, les habitants se tournèrent vers la prière.

En 1844, ce fut le choléra qui ravagea les campagnes hennuyères, semant l’angoisse et la désolation dans les familles.

Enfin, en 1866, une épidémie de variole fit de nouvelles victimes, renforçant encore la ferveur religieuse des habitants.

C’est dans ce contexte que les chapelles votives furent érigées : en remerciement à Dieu ou aux saints invoqués pour leur protection, ou pour maintenir une présence spirituelle permanente au sein du paysage quotidien.

La procession du Saint-Sacrement : un itinéraire sacré
Nombre de ces chapelles sont situées le long du tracé de l’ancienne procession du Saint-Sacrement, qui avait lieu autrefois chaque année dans le village. Cette procession, profondément ancrée dans la tradition religieuse locale, suivait un itinéraire sacré ponctué de prières et de haltes devant les chapelles.

Ces édifices faisaient ainsi office de stations spirituelles, où les fidèles s’arrêtaient pour chanter, prier, ou rendre hommage à des figures tutélaires telles que la Vierge Marie, saint Roch ou saint Sébastien, tous invoqués contre les maladies contagieuses.

Un patrimoine vivant et touchant
Aujourd’hui encore, ces chapelles rappellent la force de la foi populaire et la manière dont les habitants de Sirault ont su trouver du réconfort dans le sacré face à la peur de la mort. Si certaines sont encore fleuries et entretenues avec soin, d’autres mériteraient d’être restaurées pour continuer à transmettre leur mémoire collective aux générations futures.

Elles ne sont pas seulement des éléments de décor ou des traces du passé ; elles constituent un patrimoine spirituel et historique précieux, témoin d’un lien profond entre les hommes, leur terre et leur foi.

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    C'est un Français qui avait d'abord installé une petite fabrique de pannes en 1813. Une petite chapelle se trouve à l'entrée de ce que fut cette pannerie.
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La Chapelle du Cavin : un témoin fragile du passé


Au cœur du hameau du Cavin se trouve l’une des plus anciennes chapelles de la commune, malheureusement aujourd’hui en grande partie tombée en ruine. Cette chapelle, probablement construite au XVIIe siècle, est édifiée en pierres extraites des carrières locales, associées aux célèbres briques de Sirault. Sa toiture est couverte de pannes, ces tuiles traditionnelles fabriquées dans la région de Sirault, qui ajoutent au caractère typique et authentique de l’édifice.

Jadis, cette petite construction religieuse jouait un rôle central dans la vie spirituelle et quotidienne des habitants, bien avant que l’église paroissiale ne soit édifiée. À une époque où les infrastructures modernes comme l’eau courante n’existaient pas encore, la chapelle ne servait pas seulement de lieu de prière, mais aussi de point de rassemblement communautaire. Près de la chapelle se trouve une fontaine d’une importance capitale : c’était là que les villageois venaient puiser leur eau, indispensable pour leur vie de tous les jours. Cette fontaine alimentait autrefois un vaste étang situé dans les bas-fonds alentours, appelé l’Étang des Oblats. S’étendant sur environ quatre bonniers (soit près de quatre hectares), cet étang jouait un rôle essentiel pour l’écosystème local, mais aussi pour l’approvisionnement en eau des habitants et leurs bêtes.

La chapelle est dédiée à Notre-Dame de la Paix, parfois appelée aussi Notre-Dame du Cavin. Pendant une vingtaine d’années, autour de l’année 1793, elle a même accueilli la célébration d’une messe annuelle, traditionnellement le lundi qui suivait la fête de l’Assomption. Ce rendez-vous religieux marquait un moment important de la vie locale, rassemblant les habitants du hameau et des environs autour de la foi et de la dévotion.

Un détail remarquable de cette chapelle est son autel, taillé dans un unique bloc de calcaire extrait directement de la carrière voisine. Ce matériau, typique de la région, rappelle l’étroite relation entre le site et l’activité économique locale, tout en soulignant la simplicité et la rusticité de ce lieu de culte qui a traversé les siècles.

Aujourd’hui, cette chapelle ancienne, malgré son état de délabrement, demeure un symbole précieux du patrimoine local. Elle témoigne des conditions de vie difficiles des habitants d’autrefois, de leur attachement à la foi et à la nature, ainsi que de l’histoire rurale et religieuse qui a façonné la commune. Sa restauration éventuelle pourrait permettre de préserver ce lien avec le passé et d’en faire un lieu de mémoire et de rencontre pour les générations futures.

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Le Cavin ou les Cavins

Origine et géographie du hameau des Cavins


Le hameau des Cavins, situé sur le territoire de Sirault, tire son nom de Calviniaca ou Calviniacus, des toponymes anciens mentionnés dans plusieurs chartes remontant au Haut Moyen Âge. Ces appellations apparaissent notamment dans un acte signé par Charles le Chauve en date du 13 avril 871, ainsi que dans une charte du roi Charles le Simple datant de l’an 899. Ces documents soulignent l’ancienneté de l’occupation humaine dans cette vallée, ainsi que son importance stratégique ou économique dès les premiers siècles du royaume franc.

Le mot "Cavin" ou "Cavain" trouve ses racines dans l'ancien français, où il désigne un "lieu creux" ou un "chemin creux" — une dépression naturelle ou un vallon emprunté par les habitants ou les troupeaux. Cette étymologie correspond parfaitement à la topographie du lieu, une vallée encaissée et verdoyante, façonnée au fil du temps par l'érosion de l’eau.

Au cœur de cette vallée coule un cours d’eau aujourd’hui connu sous deux noms : le "Ruisseau des Fontaines" ou plus communément le "Rieu Amand". Ce ruisseau joue un rôle essentiel dans le paysage naturel et l’histoire hydraulique du hameau. Il prend sa source dans une zone riche en émergences naturelles et en sources calcaires, issues des affleurements du calcaire carbonifère viséen, typique de la région.

La vallée naturelle présente un embranchement important en provenance de l’ancienne carrière de pierre à chaux située près de la chapelle des Cavins. Ce site, aujourd’hui partiellement recouvert par la végétation, témoigne d’une activité d’extraction autrefois intense, essentielle pour la construction et la production de chaux. Un petit affluent sinueux traverse cet ancien bassin de carrière, recevant au passage les eaux vives de la "Chaude Fontaine", une source connue localement pour la température relativement constante de son eau, avant de rejoindre le Rieu des Fontaines, plus en aval.

Cet ensemble de vallons, de ruisseaux et de sources forme un écosystème riche et ancien, marqué autant par l’histoire humaine que par l’action lente de la nature. Il constitue aujourd’hui un patrimoine géographique, historique et environnemental à préserver, tant pour sa valeur paysagère que pour la mémoire collective qu’il incarne au sein du village de Sirault et de ses hameaux.

Sirault Neufmaison Villerot

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