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Théâtre


La compagnie "Les Montagnards"


Local "Les Montagnard" au Happart

La société dramatique et la chorale réunies sous le nom de « Les Montagnards » furent des piliers culturels du Happart, un quartier de Sirault, qui laissèrent une empreinte durable dans la région. Fondée en 1898 par Ovide Duhappart, cette association s’installa rapidement dans ses locaux situés au 10 rue du Happart. Sous la direction énergique de Gustave Gosselin, les Montagnards devinrent très vite un symbole vivant de la vie artistique locale.

Si la chorale, active jusqu’en 1905, rassemblait les habitants autour du chant, c’est surtout la troupe de théâtre qui assura la renommée durable des Montagnards. Très connue dans toute la région, cette troupe proposait un répertoire riche et varié, mêlant comédies populaires, opérettes et pièces en patois wallon, qui renforçaient leur ancrage dans la culture locale.

Parmi les nombreuses œuvres jouées, plusieurs se distinguaient particulièrement. Les Cloches de Corneville, célèbre opérette de Robert Planquette, ravissait les spectateurs par son mélange d’humour et de romance. Mam’zelle Ninouche, une comédie légère et pleine de charme, faisait sourire petits et grands, tandis que La Fille du Tambour-Major, une opérette de Jacques Offenbach, captivait par ses airs entraînants et ses scènes pleines de vie. Ces spectacles, ainsi que beaucoup d’autres, contribuaient à faire des représentations des Montagnards des moments de fête et d’émotion, attendus avec impatience par la communauté.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, en plus de leurs activités artistiques, les Montagnards firent preuve d’un engagement profond en faveur des prisonniers de guerre, organisant des spectacles de soutien et des collectes, témoignant ainsi de leur solidarité et de leur humanité dans des temps difficiles.

Après la guerre, la troupe continua à rayonner dans la région, attirant un public fidèle et passionné. Leur capacité à allier traditions locales, humour et émotion faisait de chaque représentation un événement incontournable, véritable reflet de l’âme et de la culture siraultoise.

Ainsi, les Montagnards incarnèrent bien plus qu’un simple groupe artistique : ils furent un véritable moteur culturel, un lien précieux entre les générations, porteur d’un héritage vivant et d’un esprit de communauté qui perdure dans les mémoires.

1948


Les cloches de Corneville

50ème anniversaire du Cercle "Les Montagnards".
La pièce "Les cloches de Corneville" du 21 au 29 mars 1948. Une oeuvre qu'il portait pour la deuxième fois en 50 ans.
(Document Jean-Marie Caulier).

La première rangée gauche à droite:

Georges Pourcelet, Emile Dupuis, Endore Serriez, Roger Eloy, Henri Gerard (Margot), Jules Galand (du Baron), Louis Mahieux, Elenthère Galand, Marcel Desloover, Claude Caulier.
La deuxième rangée de gauche à droite:
René Wachel, Georges Caulier (L'Préfet), Georges Norrez, Jean Galand, Charles Caulier (du Tchôâ), Arlette Chevalier, Robert Degobert, Michel Dramaix, Gilberte Lair (du Tivoli), Roger Pourcelet, Emile Lhoir 'l'grand Coq), Raymond Chevalier, Henri Duhoux (Zande du Grüs), Charles Degobert (du Machon).
La dernière rangée de gauche à droite:
Yvettes Loiselet (du Salon), Christiane Wachel, Christiane Limbourg, Raymond Chevalier (Fifine), Jean-Marie Caulier, Josette Chevalier, Eliane Wachel, Paulette Dupuis.

Mam'zelle Ninouche


Mam'zelle Ninouche opérette de Meilhac et Millaud.

Diverses représentations théâtrale des "Montagnards"


Charles Caulier (Jean Grenicheux) dans "Va petit Mousse".

Arlette Chevalier (Serpolette) et Jean-Marie Caulier (Le Page) dans "Vive le cidre de Normandie".

Charles Caulier (Jean Grenicheux) dans "Va petit Mousse".rie Caulier).

Charles Caulier (Jean Grenicheux dans l'armure), Roger Pourcelet (Henri, Marquis de Corneville), et Eliane ou Christiane Wachel (une servante).

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